Parler d’un corps fragile, déjouer les pressions de la masculinité obligatoire, se servir de la sculpture pour se réinventer, se bricoler une identité modeste et singulière.
Parler du stress, de la pression, de la maladie, du vieillissement. Construire une alternative à sa propre image. Matérialiser ses ressentis. Cette série commencée en 2003 et travaillée épisodiquement compte plusieurs dizaines de pièces.